La tradition, cet homme des Appalaches la connaît sur le bout de ses doigts.
Il a été biberonné par les maîtres du violon « celtique » et a joué avec Joe Thompson, antique violoniste noir de la Caroline du Nord. Il a travaillé le répertoire avec John Doyle, maître de la guitare irlandaise, et s’est frotté aux accents cajuns avec Sam Broussard. Nul doute que celui que l’on a baptisé le « Richard Thompson de la musique traditionnelle américaine » porte dans ses cordes toutes les subtilités qui ont fécondé le blues, de quoi l’enraciner au plus profond dans le nouveau siècle.
Vendredi 21 novembre, au Cap à 20h45
Dimanche 23 novembre, à L’Espace Jacques Prévert à 16h00